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mardi 28 octobre 2008

L'écho de la vie


J’ai choisit de quitter la vile ville,
Qui de sa camisole m’isole.
Fuir ses rats d’opéra dopés,
Et mon père, le père du perdu.

J’aimerai bien être un hêtre.
Trôner sur cette si lisse silice.
Loin des démons des monts,
Où se déchaînent des chaînes.

Depuis mes dix ans, médisant,
La ville et son empire empire,
Car tout n’est cartoon,
Car nagent carnages.

Le paradis tout vert est ouvert,
Et il me dit que lui-même m’aime.
Alors je vois en lavis la vie
Et contemple ces si reines sirènes.

Mais la mort c’est l’amorce.
Comment la morose mort ose,
Ces pumas sacrés massacrer ?
C’est ce phénomène que les fées nomment haine.

Jusqu’alors m’a plu ma plume,
Mais de ma littérature, je lis mes ratures
Et alors je hais mes maudis mots dits.
Est ainsi dieu : insidieux.

2 commentaires:

Karine a dit…

j'aime :)

Anonyme a dit…

étrange mais chouette !!